En 1956, le magazine Time s'est moqué de l'un des plus grands peintres américains du 20e siècle : « Jack the Dripper ». Il le faisait parce que Pollock représentait quelque chose de nouveau : avec sa technique de peinture innovante du dripping et du pouring, il a développé l'action painting et a produit des œuvres radicalement subjectives qui ont révolutionné le monde de l'art. Mais Pollock incarnait également l'image d'un artiste buveur et en quête de sens, qui est devenue une légende suite à sa mort prématurée. Kim Evans dresse le portrait du mythe Pollock, dont les peintures abstraites ont été saluées par les médias comme l'incarnation d'un art américain indépendant.
En 1956, le magazine Time s'est moqué de l'un des plus grands peintres américains du 20e siècle : « Jack the Dripper ». Il le faisait parce que Pollock représentait quelque chose de nouveau : avec sa technique de peinture innovante du dripping et du pouring, il a développé l'action painting et a produit des œuvres radicalement subjectives qui ont révolutionné le monde de l'art. Mais Pollock incarnait également l'image d'un artiste buveur et en quête de sens, qui est devenue une légende suite à sa mort prématurée. Kim Evans dresse le portrait du mythe Pollock, dont les peintures abstraites ont été saluées par les médias comme l'incarnation d'un art américain indépendant.